Commune

Lohnsfeld est situé dans la région montagneuse du Palatinat du Nord, au sud-est du Donnersberg. Lohnsfeld comprend également le hameau de Schmitterhof ainsi que les résidences Krupp'sche Ziegelhütte et Pulvermühle.

1190 "Sacerdos Cunradus de Loginsfeld" attesté par des documents ; 1327 Lohnsfeit, 1486 Lanßfeldt ; 17e/18e siècle Lohnsfeld.

Jusqu'à la fin du 18ème siècle, Lohnsfeld faisait partie du comté de Falkenstein.

Après 1792, les troupes révolutionnaires françaises avaient occupé la région et l'avaient annexée après la paix de Campo Formio (1797). De 1798 à 1814, le village a fait partie du département français de Donnersberg et a été rattaché au canton de Winnweiler. Suite aux accords conclus lors du Congrès de Vienne (1815) et à un traité d'échange avec l'Autriche, la région a été rattachée au Royaume de Bavière en 1816. À partir de 1818, la commune de Lohnsfeld a été rattachée au Landeskommissariat de Kaiserslautern dans le district bavarois du Rhin, puis au Bezirksamt de Kaiserslautern, qui a donné naissance au Landkreis de Kaiserslautern en 1938.

Après la Seconde Guerre mondiale, Lohnsfeld a fait partie de la zone d'occupation française du Land de Rhénanie-Palatinat, alors nouvellement formé, et a été rattaché au district de Rockenhausen dans la région du Palatinat. Depuis 1969, la commune de Lohnsfeld fait partie du Donnersbergkreis et depuis 1972 de la Verbandsgemeinde Winnweiler. (Q : Wikipedia)

Coupé d'argent et de rouge, à une branche de chêne verte avec deux feuilles vertes, une coupe de fruit verte au milieu et un gland d'or, à une coquille de pèlerin d'or derrière.

Explication : Les motifs des armoiries de Lohnsfeld remontent au sceau du tribunal de Lohnsfeld et Potzbach, qui nous est parvenu au XVIe siècle. La branche de chêne est un symbole judiciaire du comté de Falkenstein, où elle apparaît dans un grand nombre d'anciens sceaux judiciaires, et la coquille de pèlerin représente Saint-Jacques, qui a toujours été le patron de l'église de Lohnsfeld. Ce n'est qu'en mai 1983 que les armoiries publiées pour la première fois en 1928 par l'héraldiste Otto Hupp ont été adoptées ou approuvées par le gouvernement régional. (Q : Wikipedia)